vendredi 6 février 2015
Comme chaque fois que je
ressens si fort ton amour
Qu’il m’enveloppe et
m’enrubanne
Comme chaque fois que
j’attends ton retour
Celui de Venus ou bien de
Diane
Comme chaque fois que mon
souffle se fait trop court
Quand tu déshabilles mon
âme et mon cœur profane
Comme chaque fois que je redeviens
ce troubadour
Le musicien de tes trêves
mélomanes
Comme chaque fois que tu
accordes ton violon
Sur les traces de notre
histoire infinie
Comme chaque fois que tu
rebâtis ce cocon
Cette alvéole où je
retrouve un souffle de vie
Comme le jour le plus
court, le jour le plus long
Un cri qui résonne au
milieu de la nuit
Quand tu m’entraînes vers
un autre horizon
Quand à toi je me donne,
en toi je m’oublie
Yanis Taieb, tous droits
réservés
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