vendredi 11 mars 2016
Parfum d’éternité
Je marchais sur les plaines
De ces vertes prairies
Autant que je m’en
souvienne
Les arbres avaient fleuri
Une bise aérienne
Caressait mes longs
cheveux bouclés
Dans ces secondes que j’avais
faites miennes
Flottait un parfum
d’éternité
Je marchais sur les
plaines
De ces vertes prairies
Autant que je m’en
souvienne
Dans ce sanctuaire de la
vie
Mon cœur était indemne
Il avait même rajeuni
Il n’avait plus de peine
Qu’une douce folie
Je marchais sur les
plaines
De ces vertes prairies
J’avais brisé mes chaînes
J’étais libre affranchi
Je m’abreuvais aux
fontaines
Des saintes endormies
Autant que je m’en
souvienne
Je touchais l’infini
Je marchais sur les
plaines
De ces vertes prairies
Autant que je m’en
souvienne
Les arbres avaient fleuri…
Texte : Yanis Taieb,
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